Quelques livres

Publié le par lespilulesquituent

worst pills best pills°°°°° de public citizen (organisation d’intéret public sans but lucratif)
prevention des morts induitent par les médicaments. Les effets indésirables sont la quatrième cause de décès chez les Américains, tuant 100000 personnes chaque année
 
« La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. » Ce livre te montrera comment se protéger
 
« Or les médicaments sont aussi des substances dangereuses, à manier avec précaution. Il y a bien sûr les scandales récents qui ont secoué la France. L’affaire du Mediator n’est nullement une exception, elle est plutôt la règle : on assiste depuis une vingtaine d’années à une avalanche de scandales pharmaceutiques à travers le monde, pour la plupart bien plus graves que celui du Mediator et impliquant quasiment tous les grands laboratoires mondiaux. Étrangement, ces affaires retentissantes n’ont pratiquement pas eu d’écho en France. Sans doute a-t-on considéré qu’il s’agissait de problèmes qui ne nous concernaient pas, un peu comme le fameux nuage de Tchernobyl. Pourtant, les entreprises impliquées sont des multinationales implantées sur notre territoire comme sur le reste de la planète et leurs médicaments étaient (ou sont encore) commercialisés également en France. À l’ère de la mondialisation, les molécules circulent aussi librement que le pétrole ou les courriels. »On ne peut plus dire qu’il s’agit de cas isolés de corruption , de quelques « méchants » qu’il suffirait de mettre en prison. Les experts, les scientifiques, les médecins, les politiciens, tous ces gens font simplement leur travail – ils sont même, dans leur grande majorité, bienveillants et de bonne foi. Ce que révèlent les scandales, par leur répétition même, c’est justement cela : la banalité du mal pharmaceutique, son caractère systémique, industriel. Il y a quelque chose de pourri au royaume de Médecine , comme il est dit dans Hamlet. Nous le sentons tous obscurément, mais nous hésitons à nous l’avouer. Nous voulons continuer à croire que la médecine est « basée sur des preuves », comme on nous le répète tout le temps, que nos médecins sont vigilants et bien informés, que les agences sanitaires ne permettront plus qu’on nous vende des médicaments inutiles et dangereux. Nous voulons continuer à croire en la médecine, car elle a été porteuse depuis la révolution thérapeutique de la fin du XIXe de tous nos espoirs en une vie longue et sans douleur. Mais cette médecine que nous avons connue n’existe plus. Comme on va le lire dans ce livre, les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires . Les médecins reçoivent leur formation et leurs informations de l’industrie pharmaceutique. Les agences sanitaires approuvent de façon désinvolte des médicaments totalement inefficaces, tout en protégeant le « secret commercial » des données négatives fournies par les firmes. À tous les niveaux, le profit des industries passe AVANT l’intérêt des patients.
 
Ce petit ouvrage explique les risques de somnifères dont vous pourriez ne pas avoir entendu parler. Il décrit aussi de meilleures alternatives.
 
Il relance le débat sur les pratiques mafieuses de la médecine conventionnelle.
 
Effets secondaires – LA MORT, Sans corruption pas de médicaments le livre ecrit par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui vous tuent
« Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie harmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »
 
Les médicaments d’ordonnance sont la troisième cause de mortalité après les maladies cardiaques et les cancers
Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste… Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins… Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité… Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir»
 
Corruption systématique L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia. Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée. Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie. Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. ….Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia
 
« N’oubliez jamais que tout ce qu’a fait Hitler en Allemagne était légal » Martin Luther King Jr.
 
La médecine moderne est gérée par une oligarchie restreinte mais puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parvient à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens
 
Le véritable danger vient de 5 % d’entre eux, baptisés leaders d’opinion clé, achetés et inféodés à l’industrie, à coup de contrats personnels, déclarés ou non, d’enveloppes en liquide, en général à l’étranger, et qui atteignent de 20.000 à 500.000 € par an ou plus, selon l’importance des marchés qu’ils assurent à l’industrie dans leur pays. Ils la servent à toutes les étapes du parcours d’un médicament nouveau. Ils cosignent les yeux fermés les articles rédigés par les firmes, les présentent dans les congrès qu’elles financent, déterminent la position des sociétés savantes qui, financièrement, dépendent à 90 % de l’industrie, et sont toujours choisis, à cause de la notoriété médiatique que leur assurent les firmes, comme experts par les agences d’État, imposant ainsi les autorisations de commercialisation (AMM), empêchant les retraits du marché, assurant le remboursement maximal des médicaments et déterminant les recommandations officielles des agences, de telle sorte qu’en pratique, à travers eux, c’est l’industrie qui tient elle-même la plume des médecins prescripteurs.
 
Après qu’on eut modifié les critères utilisés pour définir l’ostéoporose, sept millions d’Américaines ont été transformées en patientes, du jour au lendemain. La prolifération du monitorage foetal dans les années 1970 a été associée à une augmentation de 66 pourcent du nombre des femmes à qui l’on a dit qu’elles devaient avoir une césarienne, mais cela n’eut aucun effet sur le nombre de nouveau-nés requérant des soins intensifs ni sur la fréquence de la mortalité des nourrissons. L’introduction du dépistage du cancer de la prostate a résulté en ce que plus d’un million d’Américains se soient fait dire qu’ils avaient un cancer de la prostate, alors que les études cherchant à vérifier s’il s’en trouve quelques-uns qu’on aurait aidés se contredisent, il y a consensus que la plus grande partie ont été traités pour une maladie qui ne les aurait jamais affectés. En tant que société fascinée par les progrès techniques et les percées de la connaissance scientifique, nous avons rétréci la définition de ce qui est normal et nous transformons en patients de plus en plus de bien portants. Les diagnostics d’un grand nombre de conditions, dont l’hypertension artérielle, l’ostéoporose, le diabète et même le cancer, ont explosé au cours des dernières décennies tandis que les décès provoqués par ces maladies sont restés constants
 
SOINS TUEUR : COMMENT LES ERREURS MÉDICALES SONT DEVENUEES LA TROISIÈME CAUSE DE DÉCÈS AUX USA
Chaque année aux États-Unis, un quart de million de décès sont attribuables à une erreur médicale . Si le nombre choque, à un certain niveau vous le saviez déjà, il en fut ainsi. Tout le monde connaît quelqu’un, peut-être qu’il était vous-qui a subi un traitement misérable dans les hôpitaux américains, une partie du système de soins de santé la plus élaborée, la plus vaste et coûteux dans le monde. Mais il est peut-être le plus inefficace.
Les erreurs de diagnostic, prescriptions erronées, opérant sur le mauvais patient, même opérant sur le mauvais côté (et amputant il): ce sont les conséquences de la négligence généralisée, le surmenage, l’ignorance et les hôpitaux essaient de tirer le meilleur parti de leurs aidants naturels et le plus d’argent de leurs patients.
 
Frank Wittig parle des structures mafieuses au sein de la médecine. Pour expliquer qu’il a noté des secteurs où la médecine, non seulement, n’aide pas, mais rend malade.
 
de dr Marcia Angell
En épilogue, les récentes affaires du Vioxx et des autres Coxibs, avec leur grand nombre de morts, illustrent tous les aspects les plus désolants de ces dérives de l’industrie et de l’inefficacité d’un certaine agence de réglementation.
 
Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? […] Un pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc, selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac car les doses ne pouvaient que se cumuler. Le site de la pharmacovigilance européenne révèle que des nouveau-nés dont les mères ont pris du Prozac développent la même maladie que les patients ayant absorbé du Mediator ou de l’Isoméride: l’hypertension artérielle pulmonaire. L’Agence européenne du médicament se contente toutefois de conseiller aux mères de signaler à leur sage-femme qu’elles prennent un ISRS [inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine: classe d’antidépresseurs de type Prozac]. L’Agence estime que le Prozac multiplie par deux le risque de malformation cardiaque chez le nouveau-né. Au lieu de déconseiller formellement la molécule aux femmes enceintes, elle leur suggère simplement d’en parler à leur médecin qui décidera de la suite du traitement. L’Agence ajoute: « Le mécanisme est inconnu. »
 
Les Benzodiazépines: Comment agissent-elleset comment s’en sevrer ?
 
Le Dr Jerome Kassirer propose un regard inquiétant sur les pots-de-vin que des médecins acceptent des géants de l’industrie pharmaceutique et d’autres fournisseurs. II fait valoir que les milliards déversés par l’industrie ont détraqué la boussole morale de plusieurs médecins, et que ces combines ont miné la qualité des soins que nous prodiguent au jour le jour les médecins et les institutions qui avaient toute notre confiance. Bourré de véritables histoires d’horreurs, ce livre met en lumière les manigances financières entre les grosses compagnies qui fabriquent les médicaments et les médecins qui les prescrivent.
 
L’auteur prend le risque de dénoncer les pratiques frauduleuses de l’industrie pharmaceutique qui nous cache les effets indésirables de nombreux médicaments. En France, des effets secondaires tels qu’hépatite, infarctus, cancer, méningite, impuissance, avortement sont volontairement occultés !
 
pharmageddon (anglais) : l’hisoire d’une tragedie par le prof david Healy
les antidépresseurs – maintenant les médicaments les plus couramment prescrits pendant la grossesse – alors même que les preuves s’accumulent que ces médicaments provoquent des défauts de naissance, le double du taux de fausses couches, et causer un handicap mental chez les enfants nés de mères qui ont été les prendre. L’espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de la dernière des médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d’espérance de vie que nous l’étions il ya 100 ans.
 
« la deuxième étude réalisée en Amérique latine, en Europe et ailleurs, révélait que le placebo était plus efficace que l’antidepresseur
 
Tant de choses ne tournent pas rond dans notre système de santé, l’industrie pharmaceutique et nos rapports à la médecine!
 
DEPUIS une dizaine d’années, la médecine rend malades plus de gens qu’elle n’en guérit. Elle est devenue, de toutes les industries, la plus gaspilleuse, polluante et pathogène.
 
Le dictionnaire définit le mot charlatan : « vendeur de drogues sur la place publique. Médecin ignorant et impudent. Imposteur qui exploite la crédultié humaine ». Or la vente des drogues sur la place publique fut licite et légale jusqu’en l’an XI de la république, c’est à dire jusqu’en1803. Mais si Tabarin, roi des charlatans, vendait ses drogues, ses baumes et ses onguents sur les trétaux de la place Dauphine avec l’appui des lois, et mourut riche et honoré dans sa seigneurie du Coudray, les marchands de drogues du XXe siècle, vendent aussi légalement leurs produits illusoires avec des procédés de publicité perfectionnés mais peu différents, au fond, de ceux de Tarbarin. Et ils meurent eux aussi, riches et honorés avec la bénédiction de médecins très officiels qui ne dédaignent pas, quelquefois et même assez souvent de prêter leur nom et leurs titres aux marchands d’orviétant. C’est beaucoup plus lucratif, croyez le, que de manier le pendule, et c’est moins dangereux.
 
Alzheimer, parkinson, sclérose en plaques, autisme… Pourquoi le nombre de personnes atteintes d’une maladie neurodégénérative explose-t-il, et pour quelles raisons les malades sont-ils de plus en plus jeunes ? Ce livre révèle que ces maladies se préparent déjà dans le ventre des mères, devenues malgré elles des « mamans neurotoxiques ». Ensuite, tout au long de la vie, nos neurones sont exposés à un cocktail d’agressions capable de diminuer irréversiblement les fonctions de notre cerveau. Ces substances parfaitement identifiées et documentées par les scientifiques, pourraient être bannies de notre environnement si une véritable politique de prévention était menée.
 
LES MENSONGES DE LA MEDECINE du Dr. Roger DALET, MD – Ed. Hachette
Un livre exposant les peurs crées de toutes pièces par le corps médical sur les conséquences exagérés de certains troubles (cholestérol, hypertension) pour faire vendre des médicaments toxiques, inutiles et dangereux.
 
Nous savons tous que les médecins acceptent des dons de compagnies pharmaceutiques, allant des stylos et des tasses de café a des vacances gratuites dans les stations de luxe. Mais comme l’ancien rédacteur en chef du New England Journal of Medicine révèle dans cette choquant expose, ces dons anodins en apparence ne sont que la partie émergée d’un iceberg qui déforme la pratique de la médecine et qui mettent en péril la santé de millions d’Américains d’aujourd’hui .
 
Hans Ruesch explique pourquoi autant de nouvelles maladies apparaissent de par le monde à l’heure où la recherche médicale prétend s’investir à fond. Pourquoi le public est-il soumis continuellement à de la désinformation sur la santé ? Il révèle le massacre qui est orchestré sous couvert de l’absorption de produits chimiques qui portent le nom de « médicaments » ! Il expose l’opinion de médecins et de chercheurs réellement conscients des problèmes causés par la vivisection, des exemples d’homicides impunis, mais également un point de vue sur le cancer et sur la fraude des mass médias…
 
Experts corrompus, pression sur le pouvoir politique, marketing débridé : la description que vous faites de l’industrie pharmaceutique est glaçante… Tous les labos ont les mêmes méthodes de lobbying. Comme n’importe quel produit, le médicament n’échappe pas à la promotion. La grande majorité des entreprises la pratiquent dans le strict respect de la loi. Une minorité, toutefois, fraudent et commercialisent des médicaments dangereux, aux effets secondaires graves. Les conséquences sont désastreuses : chaque année, 200.000 personnes meurent d’accidents médicamenteux dans l’Union européenne.
 
de professeur David Cohen
ANTIDEPRESSEUR ; LITHIUM ; MALADE ; MEDICAMENT ; MENTAL ; NEUROLEPTIQUE ; PSYCHOPHARMACOLOGIE ; PSYCHOTROPE ; SEVRAGE ; SOMNIFERE ; STIMULANT ; TRANQUILLISANT ; USAGE
 
Le 2 décembre 2004, Mégane, la nièce de Gwen Olsen, se suicide à l’âge de vingt ans en s’immolant par le feu, mettant fin au supplice qu’était devenu son existence, soumise aux effets indésirables de médicaments qui lui avaient été prescrits. Ayant passé près de quinze années à travailler pour l’industrie pharmaceutique en tant que visiteuse médicale, c’est en tant qu’initiée à ce que sont, entre autres, les psychotropes, que Gwen Olsen nous livre ici un témoignage aussi alarmiste qu’éclairant sur les conséquences que peuvent avoir ces médicaments. Mais c’est également en tant que victime de ces derniers, qu’elle a appris à ses dépends ce qu’il pouvait en coûter de se faire prescrire des substances agissant sur la chimie du cerveau. Forte de ce double éclairage de l’intérieur et profondément choquée par le sort de sa nièce Mégane, elle n’a de cesse aujourd’hui, à travers son site Internet (www.gwenolsen.com) et des tournées de conférences à travers les États-Unis, de diffuser une information qui permet à un vaste public de mieux connaître les résultats tragiques de prescriptions abusives concernant, par exemple, les antidépresseurs, anxiolytiques et autres hypnotiques. On pourra arguer que tout cela se passe loin de nous, de l’autre côté de l’Atlantique, dans un pays dont le système de santé a été relégué à la dernière place parmi ceux de dix-neuf nations occidentales. Mais ce que la plupart des gens ignorent, c’est que ce qu’on appelle aujourd’hui le DSM-5, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, 5e édition (DSM, de l’anglais Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) est conçu en Amérique et traduit en français à l’intention de notre pays, tous les médicaments psychiatriques qu’il induit étant pareillement prescrits et disponibles chez nous.
Si vous êtes malade un jour, tout le monde s’intéressera à votre maladie, mais votre santé n’intéresse que vous. Ce livre fait le bilan de notre système de santé actuel, où le médecin ne connaît plus le malade car il est devenu un simple vendeur de médicaments. Il dénonce le lavage de cerveaux organisé par les instances de santé et les médias sous la pression des laboratoires, le dépistage systématique qui ne rapporte, la plupart du temps, qu’à ceux qui «dépistent» et l’abus de médicaments qui suppriment les symptômes et non les maladies. Il aborde la notion de «terrain» et propose de réconcilier la médecine avec le vécu sensible des personnes, de refuser de céder à la peur qui contribue à la défaillance de notre système immunitaire et de savoir qu’il existe des méthodes naturelles qui ont fait leurs preuves depuis des lustres, mais qui restent interdites car elles menacent la santé financière des laboratoires et la pérennité de leur dictature.
 
Les récents décès de célébrités comme Michael Jackson, Anna Nicole Smith, Heath Ledger, et Whitney Houston ont montré un projecteur sur la surutilisation et l’abus de médicaments d’ordonnance. La plupart des gens croient que les médicaments d’ordonnance sont plus sûrs que les substances illicites. Mais, lorsqu’il est combiné avec d’autres over-the-counter sédatifs, médicaments d’ordonnance peuvent être tout aussi puissante, addictive, et dangereux. En 2006, les surdoses sur une classe d’analgésiques d’ordonnance appelés analgésiques opioïdes a tué plus de gens que ceux tués par surdoses sur la cocaïne et l’héroïne combinée. À l’heure actuelle, entre 35 à 54 ans, l’empoisonnement par médicaments d’ordonnance est la cause la plus fréquente de décès liés à l’auto-accidentelles mort plus encore que. Dans les médicaments qui tuent, Dr Marcum brille une lumière sur le pouvoir addictif de médicaments d’ordonnance et comment vous pouvez vous protéger votre famille et en pratiquant des habitudes saines.
 
La preuve démontre que, avec le cancer et les maladies du système circulatoire, les médecins et les infirmières sont maintenant l’un de nos trois premiers tueurs, ils tuent beaucoup plus de gens que les infections (y compris la grippe), les accidents de la route, des terroristes et des criminels réunis. Chaque semaine, des médecins tuent plus de personnes que les terroristes ont été tués au cours des 50 dernières années. Le résultat est que les médecins et les infirmières maintenant presque certainement tuent plus de personnes que le cancer.
Les Médecins et infirmières tuent plus de personnes que le cancer est une analyse complète et honnête de soins de santé modernes, montrant précisément comment et pourquoi les patients sont systématiquement trompés , en voie de disparition et tués
 
Dr. Erika Schwartz estime que le patient d’aujourd’hui est, mais une feuille dans le vent de protocoles groupe-think, sociétés médicales corrompus, les compagnies d’assurance sur la prise, et un milliard de dollars dans le marketing et la pression du lobbying des compagnies pharmaceutiques.
 
« En France, il y a quatre fois plus de décès pa r an liés à la prise d’un médicament que de morts sur la route. Selon la Sécurité routiè re, 3268 personnes sont mortes en 2013 sur les routes françaises. En 2011, le député Roland Mu zeau a déclaré à l’Assemblée nationale, dans le cadre de la mission sur le Mediator : “O n estime dans notre pays à 150 000 le nombre d’hospitalisations annuelles liées à des accidents médicamenteux et de 13 à 18 000 le nombre de morts provoquées par des médicaments”. En 2007, Delphine, ma grande sœur, a été victim e d’un syndrome de Lyell. Les syndromes de Lyell et Stevens-Johnson sont dans 90 % des cas une réaction médicamenteuse. Elle touche 130 à 150 malades en France par an. Un cas sur quatre est mortel*. Peu de jours avant la déclaration de la mala die, Delphine avait pris de l’Ibuprofène pour calmer une simple migraine. Cette molécule co nstitue la base de nombreux médicaments. La plupart sont en vente libre dans les pharmaci es. Commercialisé sous diverses appellations, c’est l’un des médicaments le plus consommés en France. En réalité, il n’existe quasi aucun médicament sans danger. Pourtant, le s victimes d’accidents médicamenteux manquent de reconnaissance et pe inent à prouver l’origine de leur maladie. Motivée par la volonté d’apporter mon soutien à ma sœur, j’ai d’abord écrit ce texte dans un cadre privé, je souhaiterais aujourd’hui que ce témoignage aide à fair e évoluer les mentalités et incite nos législateurs à mieux prot éger les victimes d’effets secondaires. »
 
mensonges et vérités de diana Kircsh
extrait : « voila un exemple flagrant d’une manipulation des statistiques. La plupart des gens ne réalisent pas que l’augmentation de la durée moyenne de vie est surtout le résultat de la réduction du taux de mortalité infantile. Il y a cent ans, beaucoup d’enfants mouraient à la naissance et…Si cette réduction de taux en mortalité infantile est enlevée de l’équation, l’espérance de vie a seulement augmenté de 3,7  années depuis ces derniers 100 ans
 
Des films et livres pour ne pas mourir idiots. (4 pages développent et illustrent le roman. )
 
Mais il ne fait aucun doute que le médecin induit la maladie est aujourd’hui l’un des (sinon la principale cause) de la maladie dans la plupart des soi-disant «développés» pays
 
On tue les vieux de Christophe Fernandez
dénonciation des maltraitances à l’encontre des personnes âgées hébergées dans les hôpitaux et les maisons de retraite
 
Les mensonges sur les médicaments sont très nombreux, mais la majorité d’entre nous persiste à croire que ces traitements sont la panacée et n’ont pas d’effets délétères sur nos organismes, alors qu’en vérité, les médicaments peuvent tuer
 
La médecine nous tue de Marc Menant
La médecine serait-elle devenue folle?
 
La mafia blanche : comment les médecins et l’industrie pharmaceutique mettent notre santé en danger
…Des millions de personnes sont considérés comme des malades parce qu’arbitrairement défini, le haut cholestérol est traités avec l’athérosclérose comme effet secondaire, alors que cela ne peut être prouvé jusqu’à aujourd’hui et que la réduction de ce cholestérol peut même blesser les gens…
..
..une réalité que personne ne veut l’admettre. Maladies fictives, les statistiques falsifiées – jamais pour le bénéfice des malades, mais toujours pour le bénéfice des actionnaires et le gérant pharmaceutique.
 
Mediator 150 mg , combien de mort ? du docteur Irène Frachon
Les premiers éléments laissant suspecter la possibilité d’une telle toxicité remontent à 1997, date à laquelle un médicament proche et commercialisé par le même laboratoire, le coupe-faim Isoméride, est interdit pour les mêmes raisons.
 
Les cartels et multinationales disposent de moyens financiers illimités pour faire taire toutes les consciences. Pour comprendre les interconnexions de ces systèmes mafieux, il fallait dresser leurs portraits et pratiques dans un même ouvrage.
 
« la médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies »
 
La Mafia Médicale de Ghislaine Lanctôt
« Les vaccins sont inefficaces et dangereux, la médecine tue les gens, les médicaments les empoisonnent… « 
 
« Si on pouvait autrefois espérer trouver un jour un traitement pour chaque maladie, nous explique Jörg Blech, les marchands de la santé, aujourd’hui plus que jamais, semblent plutôt vouloir trouver une maladie pour chaque molécule fabriquée »
 
. Le médicament est devenu une marchandise qui obéit essentiellement à l’économie de marché. Nicole Delépine dresse ici un tableau sans complaisance de la dérive du système de santé français, orienté par les lobbies pharmaceutiques. Elle tente de sensibiliser les patients aux dangers des médicaments et d’alarmer médias et politiques sur leur passivité. Une analyse argumentée et courageuse qui propose des solutions pour sortir de ce cercle infernal et imposer une véritable démocratie sanitaire.
 
Drug-Induced démentia : a perfect crime  (les médicaments qui induisent la démence : un crime parfait)
Repenser les drogues psychiatriques: Un guide pour le consentement éclairé, a souligné le besoin urgent pour les sociétés et les systèmes de soins de santé à reconnaître la nocivité inutile de médicaments psychiatriques, et pour protéger les droits de ceux qui veulent des oins sans drogue .  En misant sur ce même thème, d’origine médicamenteuse démence: un crime parfait présente une analyse méthodique des données scientifiques et épidémiologiques qui confirme les  médicaments psychotropes comme une cause de lésions cérébrales et de décès prématurés. Espérons que ces publications seront utilisées par les profanes, les cliniciens, les avocats et les décideurs politiques à améliorer la qualité et l’intégrité des soins de santé, et de sauvegarder le droit fondamental de tous les patients pour éviter des lésions corporelles injustifiée – en particulier, lorsque ce dommage survient dans le forme de désinformation, frauduleux, et / ou coercitives (involontaire) de soins médicaux.
 
Depuis les affaires des statines, du Viox, de l’Acomplia et du Zyprexa, qui ont occasionné le retrait de plusieurs médicaments, on se pose des questions sur les objectifs des firmes pharmaceutiques
 
L’industrie pharmaceutique serait elle dirigée par des hommes assoiffés de profits et d’abord soucieux de “ marchandiser ” cyniquement la souffrance humaine ?
 
La Médecine scandale (1993) de Patrick Coquidé
Jamais l’actualité n’a autant tourné autour de la santé et jamais le monde médical n’a été autant ébranlé.
 
C’est que le corps médical français est particulièrement mal formé. C’est sa compétence qui est en jeu. Mais qui osera mettre en cause la formation des médecins dans les facultés de médecine alors qu’ils représentent dans de nombreux pays un puissant « par
 
Nous ne connaissont pas 50% des effets secondaires des médicaments avant leurs mise sur le marché !
 
Les horreurs perpétuées par la médecine moderne sont aggravées par le fait que celle-ci exerce un véritable monopole.
 
LA SANTE ASSASSINEE (1992) de ROBARD (Isabelle)
Textes en main, preuves à l’appui, elle démontre la culpabilité des responsables et l’imbroglio politico-médical qui plongent la France dans les ténèbres. En dépit des efforts de la presse dénonçant les scandales de la médecine, les « intouchables »
 
De nos jours, le principal problème lié aux drogues, aux États-Unis par exemple, ce n’est pas la consommation de drogues illégales, mais celle de drogues parfaitement légales, les médicaments. Plus de deux millions de personnes sont hospitalisées chaque année uniquement en raison d’effets indésirables des médicaments et que 180 000 en meurent. Quand une agence de réglementation des aliments et des médicaments autorise la vente d’un médicament grand public, plus de la moitié des effets graves qu’il entraîne restent inconnus.
 
Death by Prescription de Ray D. Strand
Il ya plus de 2 180000 décès chaque année aux États-Unis exclusivement due à des réactions indésirables aux médicaments
 
 » Par exemple, il note que d’un rapport de l’US Food and Drug Administration, a conclu que l’entreprise qui fabrique le somnifère Halcion « vigoureusement cherché à réprimer la publication d’études défavorables et a tenté de réduire au silence les crtiques.
 
Confessions of a Medical Heretic de Mendelsohn Robert S.
 » les médecins sont malhonnêtes, corrompus, immoraux, malades, peu éduqués et carrément plus stupides que le reste de la société. Lorsque je m’apprête à rencontrer un médecin, je me vois devant une personne bornée… »
 
Les médicamenteurs de Stéphane Horel
trop souvent, notre système de santé est pris au piège d’intérêts économiques qui n’ont plus grand-chose à voir avec la santé de tous.
 
Death by modern médicine de Dr. Carolyn Dean
 
Overdosed America  de  John Abramson
Overdosed Amérique révèle la cupidité et la corruption qui poussent les coûts des soins de santé vers le ciel et menace désormais la santé publique.
 
Médication Madness de  professeur peter Breggin
La grande majorité des individus vivent une vie exemplaire et n’ont pas commis d’actes criminels ou bizarre, avant de prendre les médicaments psychiatriques.
 
Votre médicament peut être votre problème (anglais uniquement)  des professeurs Peter Breggin M.D. et David Cohen Ph.D.
Comment et pourquoi cesser de prendre les médicaments psychiatriques
Seul livre qui fournit une description non censurée à jour des dangers qui’mplique la prise de chaque genre de drogue psychiatrique. C’est le premier et le seul livre pour expliquer comment cesser sans risque de prendre les médicaments psychiatriques.
« En dépit du succès  d’une campagne de promotion énorme  par les compagnies pharmaceutiques et la psychiatrie biologique, l’efficacité de la plupart ou tous les médicaments psychiatriques reste difficile à démontrer Les médicaments s’avèrent souvent pas plus efficaces que les pilules de sucre, ou des placebos – et pour accomplir même ces résultats positifs limités, les essais cliniques et des données qu’ils génèrent généralement doivent être statistiquement manipulé « (p. 37).
 
Voici le récit émouvant d’une fille qui a sauvé sa mère d’une mort certaine. Vous la suivrez dans ses démarches auprès de professionnels de la santé. Mauvais diagnostics, mauvaises médications et effets secondaires pervers en découlent. Tandis que les méde
 
Il serait normal que tout candidat aux vaccins reçoive une information honnête, précise et complète, sur les risques de la maladie dont il souhaite se protéger, mais aussi sur les risques qu’il court en se faisant vacciner. Or, l’histoire de la vaccination
 
Les fabricants de vaccins, secondés par le corps médical qui a accepté le principe vaccinal sans discussion ou réserve, ont accompli un tour de force dans le domaine de la désinformation et du mensonge.
 
Les vaccins sont des poisons de Christian-Tal Schaller
Ils sont nés de l’enthousiasme de chercheurs comme Pasteur qui pensaient avoir trouvé le moyen idéal pour venir à bout de toutes les maladies. Si un immense empire industriel ne s’était pas créé grâce aux vaccins, le public aurait reçu des informations objectives quant à l’inefficacité et aux graves effets secondaires de ces substances artificielles. Mais les multinationales ont fait pression sur le corps médical et sur les médias pour étouffer toute contestation et tout débat. La vaccinologie a cessé d’être une science pour devenir une « église » qui jette l’anathème sur tous ceux qui osent remettre en question ses dogmes. Avec les informations de ce livre, vous sortirez de l’ignorance et du conformisme de la peur. Vous pourrez devenir  » immunitairement conscient  » et préserver votre santé et celle des générations futures
 
Bitter Pills est une enquête intense de l’industrie pharmaceutique internationale.
 
thalidomide (anglais) de  Henning Nilsson and Robert Sjostrom
Thalidomide and the Power of the Drug Companies
 
Le principal problème de la drogue aux États-Unis aujourd’hui n’est pas l’utilisation de drogues illicites est-il l’utilisation de drogues légales.
 
Depuis quelques années, les laboratoires pharmaceutiques ont délocalisé une partie de leurs essais dans les pays d’Afrique et en Inde, où ils trouvent des cobayes humains en grand nombre et à moindre coût. Non-respect des conven­tions internationales, essai
 
Nous sommes tous des cobayes de docteur Louis de Brower
L’Imposture De La Biologie Et De La Médecine
 
La désinformation orchestrée par certains groupes d’influence dépasse tout ce que l’on peut imaginer. Elle a permis de collecter de colossales subventions provenant en majeure partie de l’argent public. Le lobby du virus ne peut plus faire machine arrière,
 
The Cholesterol Myths de Dr. Ravnskov
De nouvelles recommandations de traitement du cholestérol transforment des gens bien-portants en malades.
 
Il livre ici toutes les preuves que la lutte contre le cholestérol est fondée sur des données statistiques biaisées, tronquées, voire manipulées. Lorsque seules les données scientifiques vérifiables sont retenues, il ne reste rien !
 
ce médecin dresse un véritable réquisitoire contre la « course folle » à la baisse du taux de cholestérol. »
 
La Sante confisquee de M. Beljanski
Monique et Mirko Beljanski exposent, dans la Santé confisquée, les résultats positifs qu’ils ont pu obtenir, grâce à leurs découvertes, dans le traitement du cancer et du sida. Ils mettent l’accent sur les difficultés qu’ils ont rencontrées dans leur vie de chercheurs car les théories de Mirko Beljanski ébranlaient certains dogmes scientifiques majeurs de l’époque. Ils s’interrogent sur le danger actuel pour la science d’être trop liée au secteur pharmaceutique et sur les dangers que le pouvoir de l’argent fait peser sur l’éthique scientifique.
 
l’Ordre des médecins ne désirait pas que la population fût informée de l’activité de si nombreux médecins aux postes de commandement des lieux d’extermination
 
Entre 1940 et 1944, 40 000 malades mentaux sont morts de faim dans les hôpitaux psychiatriques français.
 
c’était au théâtre. L’offreur de diagnostics, de traitements et de consolations qui n’attend pas le malade mais va le chercher est le désormais célèbre docteur Knock. L’intuition de l’auteur Jules Romain est qu’il faut inculquer un nouvel état d’esprit. Son autre prémonition est le rôle de propagandistes que les médecins allaient endosser.
 
prescrits pour son mal d’estomac. La drogue a été présenté comme sûr par le médecin traitant à la fois de Vanessa et le fabricant. Peu de temps après l’avoir prise, elle est morte.
 
les antidépresseurs  » pousse-au-crime  » ? Les antibiotiques qui paralysent ? Dans notre vie quotidienne, nous subissons les effets pervers de produits mal conçus ou insuffisamment testés
 
En clair, cela signifie que pour six méthodes opératoires sur sept on n’a toujours pas la preuve qu’il ne serait pas mieux de ne pas intervenir du tout.
L’Amérique dupé l’histoire non-sensationnelle, fait-remplie de la façon dont les Américains sont venus à croire que la dépression et d’autres problèmes mentaux sont causés par des déséquilibres chimiques qui peuvent être fixés avec des pilules. Il révèle comment les études sur les médicaments utilisés pour obtenir l’approbation de la FDA sont conçus, payés et écrits par les compagnies pharmaceutiques elles-mêmes et sont délibérément trompeur. Partie 1 de l’Amérique Dupé est axée sur les antidépresseurs, leur efficacité et leurs effets secondaires, y compris les dommages permanents au cerveau qui résulte de l’utilisation à long terme dont si peu d’Américains ont aucune connaissance (y compris ceux qui prescrivent et ceux qui prennent des antidépresseurs). La partie 2 traite des différentes approches utilisées à travers l’histoire pour traiter les problèmes mentaux plus graves, y compris l’utilisation des antipsychotiques. Les effets secondaires des antipsychotiques sont également discutés. Partie 3 concerne la façon d’éviter et surmonter les problèmes de santé mentale qui ont augmenté de façon spectaculaire dans notre pays et le faire sans médicaments. Plus de 1800 références au meilleur de la recherche médicale et psychologique sont donnés si chaque page est écrit pour être compris par l’Américain moyen
 
Mad in America  de  Robert Whitaker
L’histoire racontée dans Mad in America va surprendre beaucoup de lecteurs. Dans sa revue de la littérature scientifique, le livre révèle que les études des résultats à long terme des antipsychotiques ont régulièrement montré que les médicaments ont augmenté la probabilité que les personnes diagnostiquées avec la schizophrénie deviennent des malades chroniques. Le livre examine aussi la commercialisation des nouveaux médicaments antipsychotiques atypiques dans les années 1990, et découvre la fraude scientifique au cœur de cette entreprise
 
C’est l’histoire d’un père sur le tueur de sa fille, la multimilliardaire industrie pharmaceutique. Lisez le prochain paragraphe à haute voix, cela vous donnera le ton de l’ouvrage : « Vanessa s’élance en direction des escaliers avant de retomber brusquement en arrière. Sa tête percute le plancher avec un bruit sourd, comme si une main géante invisible l’y avait poussée. Elle était toute molle, muette, inerte et pâle. Un terrible pressentiment m’a envahi. J’ai placé mon index sur sa carotide. Je ne sentais aucun pouls, aucun battement. Rien. Les secours arrivent : – Prenait-elle des médicaments? – Elle prend du Prepulsid™ (cisapride) pour apaiser ses ballonnements – Autre chose? – Non »[1] Ce père a vécu le pire cauchemar de tout parent : voir sa fille de 16 ans mourir subitement dans le salon de la maison familiale. L’ouvrage relate son enquête menée dans les arcanes de Santé Canada (Agence canadienne du médicament), d’une mondiale du médicament et de l’establishment médical.
 
Il dénonce la collusion entre laboratoires et experts qui amènent des millions de personnes à prendre ces médicaments aussi efficaces que des placebos mais dont les effets secondaires sont parfois dramatiques.
 
“Medicines out of Control ?Antidepressants and the Conspiracy of Goodwill”de Charles Medawar Voici la traduction en français de quelques pages exemplaires de cet ouvrage
 
les médicaments sont devenus certains des plus gros blockbusters de ce début de 21e siècle, de plus en plus prescrit non seulement pour les citoyens de «schizophrénie» ou d’autres formes graves de troubles mentaux, mais pour une série de plaintes psychologiques les plus courants. Ce livre remet en question le compte admis que dépeint antipsychotiques comme des traitements spécifiques qui ciblent une maladie cérébrale sous-jacente et explore les premières vues qui a suggéré, en revanche, que les antipsychotiques atteindre leurs effets en induisant un état de suppression neurologique. Enthousiasme professionnel pour les antipsychotiques éclipsé cette compréhension, exagéré les bienfaits des antipsychotiques et minimisé ou ignoré les preuves de leurs effets toxiques. L’industrie pharmaceutique a été impliqué dans le développement de l’utilisation des antipsychotiques dans le territoire où il est probable que leurs dangers l’emportent largement sur les avantages.
 
Tous les graphiques montrent une baisse similaire. Cette baisse ralentit lorsque la vaccination est introduite. Parfois le même graphique une augmentation dans les premières années après l’introduction du vaccin. Les représentations graphiques des statistiques donc faire apparaître l’influence négative de l’introduction des vaccins.
 
jacky Law étudie comment les sociétés pharmaceutiques font des milliards de dollars par persuader les gens qu’ils ont besoin de leurs traitements. Est-ce l’abus réel de la drogue ?
 
« Dr. Glidden est l’un des très peu à comprendre les vérités qui donne à réfléchir que MD réalisé que la médecine constamment ne parvient pas à guérir la maladie, et qu’il provoque des quantités massives de préjudice dans le processus. En outre, il comprend que les gens partout dans le monde ceux qui continuent à s’accrocher à leurs remèdes maison culturelles vivent plus longtemps et en meilleure santé que ceux qui achètent dans des méthodes médicales modernes ! En Amérique, hispaniques survivant blancs de 2,5 ans et noirs de 8 ans – et cela n’a rien à voir avec la génétique ! Quelques médecins comprennent comment et pourquoi cela se produit. Peu de médecins ont une expérience pratique offrant des traitements non médicamenteux qui réellement aident les gens à recouvrer leur santé. Dr. Glidden fait. »
 
Le rôle de la médecine est de nous préserver de l’action de la maladie, de la souffrance et de la mort. Dans toutes les traditions, les hommes ont élaboré un art médical à partir des ressources et des concepts qui composaient leur environnement. La médecine ‘classique’ utilise ce qui compose l’environnement du XXIème siècle, les sciences physiques chimiques et biochimiques. Analyses, radiologie, chimiothérapie, vaccinations, etc., sont les outils qui la caractérisent. Parce qu’elle utilise les sciences exactes qui se sont développées en Occident depuis trois siècles, pouvons-nous dire pour autant de notre médecine qu’elle est scientifique ? Hélas, non ! Pastorienne, elle est l’héritière non de principes scientifiques mais de dogmes ; elle voit la maladie comme une ‘chose’ à éradiquer. Elle n’est pas une science. Elle reste un art, aujourd’hui malmené par des mentalités matérialistes qui oublient trop souvent les composantes énergétique et spirituelle fondamentales du malade, mais aussi par la cupidité des tenants d’un système bien organisé, qui lancent pour leur seul profit des alertes à la pandémie et des incitations à se pré-soigner en consommant médicaments et vaccins comme des malades. Rentabilité à tout va ! N’existe-t-il pas une médecine holistique plus réaliste ? Face à une mafia de pseudo-scientifiques et de vrais financiers , y a t-il moyen encore de trouver quelques espoirs ? Marc Avérous est un Ingénieur chimiste à la retraite. Après une carrière dans l’industrie et la diététique, il a étudié tout au long de sa vie professionnelle la philosophie de la médecine et appliqué avec succès les principes d’une vie naturelle
 
Quant à l’incroyable surconsommation de médicaments, c’est une plaie spécifiquement française puisque nous en absorbons deux fois plus que les Japonais et moitié plus que nos cousins allemands, qui ne se portent pas plus mal que nous ! Les volumes de psychotropes (anxiolytiques, antidépresseurs et autres sédatifs) avalés par les Français ont été multipliés par six en vingt ans. Une folle dérive parmi d’autres, qui montre l’immense chemin à parcourir pour parvenir non à dépenser moins coûte que coûte mais à mieux utiliser l’argent collecté auprès des assurés sociaux.
 
MEURTRE PAR INJECTION explique comment l’impitoyable Rockefeller Syndicate – sous le contrôle de la structure financière mondiale, principalement les Rothschild – joue les principaux rôles politiques, sanitaires et éducatifs en Amérique. Le livre décrit les différentes branches de la Rockefeller Syndicate et leurs fonctions: Oil Trust Rockefeller, qui intègre une grande partie du complexe militaro-industriel américain, a le contrôle politique de la nation; Lel Monopoly Medical Rockefeller atteint contrôle des soins de santé de l’Amérique; et la Fondation Rockefeller, un réseau d’affiliés fiscales créations exonérées, contrôle efficacement l’éducation.
Mullins spécifie les noms, beaucoup d’entre eux appartenant à des personnalités publiques connues en Amérique. Les entreprises et leur conseil d’administration sont répertoriés avec toutes leurs connexions.
 
gratuitement en ligne ouvrage de 210 pages
 
Bealle utilisé son expérience professionnelle à faire un peu de creuser profondément dans la situation la liberté-of-the-presse et est venu avec deux éclatement expose – « L’histoire des médicaments », et « La Chambre des Rockefeller. » Le fait que, en dépit de sa familiarité avec le monde de l’édition et de nombreux contacts personnels importants, il ne pouvait pas obtenir ses révélations dans la copie jusqu’à ce qu’il fonde sa propre compagnie, The Columbia Publishing House, Washington DC, en 1949, était un excellent exemple de la censure silencieuse mais inflexible en vigueur sur «la terre de la liberté et la patrie des braves ». Bien que l’histoire de drogue est l’un des livres les plus importants sur la santé et la politique jamais à apparaître aux Etats-Unis, il n’a jamais été admis dans une grande librairie, ni examinée par aucun document de mise en place, et a été vendu exclusivement par courrier. Néanmoins, quand nous sommes arrivés à le lire, dans les années 1970, il était déjà dans sa 33e impression, sous une étiquette différente – Biworld Publishers, Orem, Utah….
…Ainsi les journaux continuent d’être nourris avec de la propagande sur les drogues et leur valeur présumée, même si, selon la Food and Drug Administration (FDA) 1,5 million de personnes ont débarqué dans les hôpitaux en 1978 en raison des effets secondaires des médicaments aux États-Unis seul, et malgré les déclarations récurrentes par intelligente et les médecins courageux que les articles les plus pharmaceutiques en vente sont au mieux inutile, mais le plus souvent nuisible ou mortelle dans le long terme….
 
L’histoire de david Carmichael
 
Peu de temps après la naissance de sa fille Rebecca Beddoe a été diagnostiqué avec la dépression post-natale. Deux ans plus tard, elle prenait six médicaments différents, y compris le lithium, un tranquillisant, un antipsychotique, et les antidépresseurs. Elle avait été diagnostiqué avec un trouble bipolaire; donné la thérapie de chocs électriques; fait de nombreuses tentatives sur sa vie; et a été tour à tour maniaque et consommée par le désespoir paralysant au cours de laquelle elle pouvait à peine bouger. Elle avait une fille de deux ans qu’elle connaissait à peine et d’une mère et partenaire qui étaient à la fin de leurs esprits, incapables de reconnaître la femme autrefois ambitieux, dynamique et très réussi qu’ils aimaient.
 
Un aperçu effrayant et vrai de l’incapacité de notre établissement légal de comprendre et reconnaître les questions de santé mentales et les effets des médicaments psychoactifs prescrits.
 
 La défonce médicamenteuse. de MAXENCE (Jean-Luc)
Les antidouleurs et antidépresseurs sont aujourd’hui les médicaments les plus consommés en France. Les 150 millions de boîtes de tranquillisants vendues par an et par Français (soit 80 cachets par personne) représentent 20 % du chiffre d’affaires des laboratoires. Or ces  » gélules miracle  » sont des drogues à part entière car elles induisent un état de dépendance, un refus d’assumer la réalité. L’état d’urgence est déclaré. Aux ravages causés par les antidépresseurs, s’ajoutent ceux du cannabis, de l’extasie et du crack. Chercher le bien-être, le bonheur, le sommeil, l’amour, l’indépendance, l’éternité, bref,  » la lune en gélules  » dans ces drogues est dangereux. La meilleure réaction commence par l’information, la compréhension des mécanismes qui mènent à la dérive et des phénomènes d’accoutumance.
 
du professeur Healy david
Professeur david Healy.The Creation of Psychopharmacology. Editeur : Harvard University Press; Édition : New Ed (3 septembre 2004). L’histoire de la psychopharmacologie. L’histoire des psychotropes. L’histoire des benzodiazépines.
 
dépendance par prescription anglais uniquement par Joan E Gadsby
Dr. Malcolm Lader, professeur de la psychopharmacologie clinique, institut de la psychiatrie, Londres, Angleterre« … L’histoire bien-recherchée de Joan Gadsby devrait aider une attention
publique de foyer sur ce problème effroyable et sa solution.(anglais)
 
Livres benzo (anglais uniquement) de j Gadsby, Simon Kaberry, Jack Hobson-Dupont, Peter Lehmann, Gurli Bagnall, Shirley Trickett, Di Porritt et Di Russell, Pam A…
 
the antidepressant fact de professeur peter Breggin
Ce que votre docteur ne vous dira pas au sujet de Prozac, de Zoloft, de Paxil, de Celexa, et de Luvox
Suicide et la mort peuvent se cacher Dans chaque pilule ISRS Je suis Ann Blake Tracy, Ph.D., chef de la Coalition internationale pour la sensibilisation aux drogues. Je suis l’auteur de Prozac: panacée ou Pandora? – Notre cauchemar de la sérotonine et ont témoigné dans des affaires judiciaires impliquant des antidépresseurs pendant 12 ans 1/2. Les 15 dernières années de ma vie ont été consacrées à plein temps à des recherches et à écrire sur les antidépresseurs ISRS. La recherche sur la sérotonine a été clair dès le début que la chose la plus dommageable qui pourrait être fait pour le système de sérotonine serait porter atteinte à sa capacité à métaboliser la sérotonine. Pourtant, c’est exactement ce que les antidépresseurs ISRS exercent leurs effets. Pour la recherche des décennies a montré que le métabolisme de la sérotonine atteinte produira migraines, bouffées de chaleur, douleurs autour du coeur, difficultés respiratoires, une aggravation des plaintes bronchiques, la tension et l’anxiété qui apparaissent de nulle part, la dépression, le suicide – en particulier le suicide très violent, l’hostilité , les crimes violents, les incendies criminels, la toxicomanie, la psychose, la manie, la maladie organique du cerveau, l’autisme, l’anorexie, la conduite dangereuse, la maladie d’Alzheimer, un comportement impulsif sans se soucier de la peine, et le comportement argumentatif. Comment on jamais pensé que ce serait «thérapeutique» pour induire chimiquement ces réactions, cela me dépasse. Pourtant, ces réactions sont exactement ce dont nous avons été témoins dans notre société au cours de la dernière décennie et demie en raison de l’utilisation généralisée de ces médicaments. En fait, nous avons même un nouveau vocabulaire à la suite avec des termes tels que «rage au volant», «suicide par policier », « assassiner / suicide», «va», «syndrome du faux souvenir, » postal « école de tir »,  » bi-polaire »- chaque troisième personne que vous rencontrerez plus – avec des taux faramineux de diabète de type antidépresseur induit et l’hypoglycémie. Vous souvenez-vous il ya deux décennies, quand les gens déprimés utilisés pour s’éclipser discrètement de se suicider plutôt que de tuer tout le monde autour d’eux et puis eux-mêmes comme ils le font tout en prenant des antidépresseurs ISRS? Une étude de l’Université de Californie du Sud en 1996 a porté sur un groupe de souris mutantes dans une expérience qui a terriblement mal tourné. Ces souris transgéniques étaient les créatures les plus violents qu’ils avaient jamais vu. Ils sont nés manque la MAO-A enzyme qui métabolise la sérotonine. À la suite de leurs cerveaux étaient inondés de sérotonine. Cet excès de sérotonine est ce que les chercheurs ont déterminé était la cause de cette violence extrême. Les antidépresseurs produisent le même résultat final car ils inhibent le métabolisme de la sérotonine. Ce sont des médicaments extrêmement dangereux qui doivent être interdits en tant que médicaments similaires ont été interdits dans le passé. Comme société, nous pensions jadis LSD et le PCP comme des médicaments miracles avec de grandes marges de sécurité chez l’homme. Nous n’avons jamais vu médicaments si semblables à ceux du LSD et le PCP que ces antidépresseurs ISRS. Tous ces médicaments produisent rêver pendant les périodes d’éveil. On croit que les niveaux de sérotonine élevés sur stimulent le tronc cérébral qui entraîne un manque de paralysie musculaire pendant le sommeil permettant ainsi au patient d’agir sur les rêves ou les cauchemars qu’ils ont. Le monde a été témoin clairement dans l’assassiner-suicide Zoloft induite par le comédien Phil Hartman et son épouse, Brynn. Connecticut a vu le cas Prozac induite par Kelly Soie il ya plusieurs années. Cette jeune mère a attaqué sa famille avec un couteau, puis réglez la maison en feu tuant tous mais sa fille de 8 ans qui a couru chez les voisins. Comme elle se tenait saignements et crier à l’aide, elle a expliqué: «Au secours! Ma maman est un cauchemar! » Sur la bouche des enfants, nous allons comprendre ces cauchemars pour ce qu’ils sont. Elle a compris que c’était quelque chose que sa mère ferait que dans un cauchemar, jamais dans la réalité. Ceci est connu comme un trouble du comportement en sommeil paradoxal. Dans le passé, il était surtout connu comme un état de sevrage, mais la plus grande installation de sommeil dans le pays a signalé que 86% des cas, ils sont diagnostiquent sont les patients sous antidépresseurs. Parce que cela a été connu dans le passé comme condition manifestant principalement par le retrait de la drogue, vous devriez voir comment l’état dangereux de retrait de ces médicaments se révélera être. C’est pourquoi il est si important de s’assurer que les patients sont sevrés très lentement afin d’éviter tout risque d’entrer dans un état de sevrage.
tous fou ? de jean claude Saint-Onge
Une personne en deuil souffrirait de « dépression majeure » si elle n’arrive pas à surmonter son chagrin après deux semaines. Une personne très timide serait atteinte de « phobie sociale » et un enfant qui conteste les adultes et les règles, serait taxé de « trouble oppositionnel avec provocation». Sommes-nous tous devenus fous ? En 60 ans, le nombre de troubles mentaux répertoriés dans le DSM, la « bible » des psychiatres, est passé de 60 à plus de 400 alors que la consommation de psychotropes a augmenté de 4 800 % aux États-Unis au cours des 26 dernières années. Or, cette épidémie de « maladies mentales » est très largement fabriquée, nous explique J.-Claude St-Onge dans cet essai sur l’influence démesurée de l’industrie pharmaceutique sur la psychiatrie.
 
« Irving Kirsch soutient que les médicaments de type Prozac n’ont guère plus d’efficacité que des vulgaires placebos, les effets secondaires en plus. « La différence d’amélioration entre les patients prenant des placebos et ceux prenant des antidépresseurs n’est pas très importante. Cela signifie que les personnes souffrant de dépression peuvent aller mieux sans traitement chimique », explique cet éminent professeur. Ce livre a mis en rage la communauté scientifique et le lobby des laboratoires pharamaceutiques qui jugent irresponsable cette entreprise de démystification… car la France est le premier consommateur au monde de psychotropes.
 
Arrêtons d’avaler n’importe quoi !
 
Tout le système est à reconstruire au service des malades, des finances publiques et du progrès thérapeutique. Ce rapport dessine les profondes réformes à apporter d’urgence à un système qui refuse pourtant de se remettre en cause. Sans elles, de nouveaux drames se multiplieront inéluctablement. L’appui des citoyens sera indispensable pour les faire aboutir.
 
combattre les crimes et aberrations commis par certains industriels et nos gouvernements… au nom de notre santé à tous ! Une enquête stupéfiants : les scandales d’un siècle d’expérimentation secrète sur l’être humain.
 
Et de préciser : « on ne voit les personnes âgées que comme des objets, on les prend, on les sort du lit, on va les poser tout humide de la nuit en plein courant d’air. On leur donne à manger très très vite, au point de les blesser au niveau des lèvres
 
redoutables dangers. Les insuffisances de recherches, les négligences des observations, le peu de sérieux des conclusions hâtives de médecins inféodés aux Laboratoires sont dénoncés avec force, preuves à l’appui
 
Les conclusions de Welch sont convaincantes, inhabituelles et troublantes : le diagnostic précoce du cancer ne sauve pas toujours la vie, il peut s’avérer très difficile de détecter un cancer à ses débuts et il est des cancers qu’il vaut mieux ignorer
 
La Face Cachée de la Chimiothérapie – Lorsque le remède est pire que le mal
Extrait du livre «Prenez en main votre santé – Tome 2» – Michel Dogna – Guy Trédaniel Editeur
La chimiothérapie nous vient de la recherche sur les armes chimiques de la Seconde Guerre mondiale, et a fait son apparition dans les années cinquante.
Il fut découvert ensuite que le gaz moutarde et autres produits chimiques dangereux du même genre freinaient la croissance des tumeurs. Cette découverte arrivait à point à un moment où la recherche piétinait dans ce domaine (ça n’a pas changé depuis). Le problème, évidemment, est que ces produits tuent autant de cellules saines que de cellules cancéreuses et, en particulier, les cellules à reproduction rapide, c’est-à-dire le sang. C’est ainsi que ce traitement est capable de mettre dans un état pitoyable n’importe quelle personne en pleine santé.
 
La France contaminée
 
Des lobbies contre la santé Roger Lenglet et Bernard Topuz
Les pouvoirs publics, garants théoriques de la santé publique, sont confrontés à des intérêts économiques puissants: laboratoires pharmaceutiques, producteurs d’engrais et agriculteurs, utilisateurs, producteurs et distributeurs d’alcool et de tabac, etc. La maîtrise de l’expertise scientifique est au coeur de la confrontation. Mais qu’est ce que l’indépendance d’un expert et comment l’assurer? Vingt-deux des vingt-sept membres du conseil scientifique de l’Agence du médicament (qui autorise la mise des médicaments sur le marché) déclarent des liens d’intérêt avec des laboratoires, nous apprennent les auteurs de cet ouvrage.
 
« Ce qu’on ne vous dit pas sur ce diagnostic tant redouté ».
La soi-disant maladie d’Alzheimer n’a pas de symptômes spécifiques
 
En quantités microscopiques fluorure progressivement mais sûrement n’interférera avec un large éventail de fonctions métaboliques provoquant répartition et lente détérioration. Les victimes vont penser qu’ils vieillissent juste et ne réalisent pas ce qui se passe réellement. Processus mentaux sont affectés, créant un effet d’abêtissement.
Des instincts agressifs, lecteur de l’initiative et le sexe sont tous supprimés. Et le fluorure est cancérigène. C’est un élément clé des gaz neurotoxiques qui peut tuer de manière si grotesque que je dois s’abstenir de les décrire.
Le fluorure est très polyvalent. Il peut vous tuer lentement, ou il peut vous tuer rapidement, selon la dose. Et il peut tuer n’importe quoi, même des cafards. Dans les 17ème et 18ème siècles, ils avaient un surnom pour elle… Poison du diable.
 
..une réalité que personne ne veut l’admettre. Maladies fictives, les statistiques falsifiées – jamais pour le bénéfice des malades, mais toujours pour le bénéfice des actionnaires et le gérant pharmaceutique.
 
Poursuivant son travail sur le pouvoir d’influence de l’industrie pharmaceutique, J.-Claude St-Onge se penche cette fois-ci sur le phénomène du TDAH, qui a littéralement explosé depuis une trentaine d’années. Or, il s’agit d’un diagnostic hautement controversé: les critères pour l’identifier manquent de scientificité et il n’existe aucune preuve que ces symptômes soient le résultat d’un déséquilibre chimique du cerveau. Quant aux médicaments, à long terme, ils ne font aucune différence sur les résultats scolaires et les comportements des enfants. Pire, ils peuvent même aggraver leurs symptômes. Cela n’empêche pas l’industrie pharmaceu­tique d’exploiter sans scrupule cette corde sensible des parents et des enseignant-e-s pour engranger des profits faramineux, sur la base d’essais cliniques aussi biaisés qu’incomplets.
 
En réalité, les statines n’empêchent ni les infarctus ni les AVC.
Tous les médicaments anticholestérol, les anciens comme les nouveaux, sont toxiques du fait de leur mode d’action et aussi parce qu’ils privent le corps d’un facteur protecteur : le cholestérol !
 
La Société cancérigène dénonce, chiffres à l’appui, les silences des discours officiels et les intérêts de bien des lobbies. Car la disparition du cancer serait préjudiciable à des pans entiers de notre économie. Veut-on vraiment faire reculer le cancer ?
…il y aurait finalement plus de gens pour en vivre que pour en mourir. N’y a-t-il aucun lien entre ceux qui produisent le cancer, ou du moins des substances cancérigènes, et ceux qui prétendent non le guérir mais l’affronter ?…
 
Pas peur du cancer / keine angst vor krebs (1978)
Les risques du dépistage – modèle cas la prostate / du professeur Julius Hacketha
La crainte générale de cancer est sans fondement. Il est basé sur les erreurs et les mensonges. La plupart des cancers sont des crabes de compagnie bénignes. Ils ne nécessitent aucun traitement.
 
L’objectif des auteurs est montré les stratégies du lobbying des laboratoires et de pointer les conflits d’intérêts liant les industriels avec les politiques et les autorités.De comprendre, par exemple pourquoi les génériques sont vendus 30 % plus chers en France qu’en Italie ou qu’un médicament contre l’hépatite C est commercialisé 256 fois son prix de revient au laboratoire (les labos gonflent les chiffres en y incluant les dépenses de marketing, de communication).
 
Cancer sortez de la boite gratuitement en ligne
Ce que vous savez sur le cancer a été soigneusement conçu et planifié par les ‘artistes – comédiens’ de l’industrie pharmaceutique de propagande, pour vous ma intenir dans l’ignorance, sur l’immense supériorité de Mère Nature au traitement du cancer. Malheureusement, certaines personnes qui ont un côt é naturel (par exemple, les gens pratiquant la médec ine alternative), n‘ont pas l‘intégrité, moins en tous cas, que les compagnies de tabac et les compagnies pharmaceutiques. Les bonnes nouvelles sont, que ce livre, Cancer – Sortez de la Boîte , va rétablir les faits et mettre les choses au clair. Il vous renseignera sur les traitements alternatifs contre le cancer, ceux qui fonctionnent vraiment ; et dans de nombreux cas les v endeurs ou les cliniques citées vous aideront à utili ser les traitements. Cependant, ce livre est tout aussi impo rtant pour les gens qui n’ont pas de cancer, que pou r ceux qui en ont un, car il leur est destiné également. Considérez ces statistiques factuelles : • Un taux de guérison véritable de 90% ou plus, peut f acilement être atteint par les patients victimes d’u n cancer, qui évitent la médecine orthodoxe, qui s’orie ntent vers la médecine alternative en premier, et qu i en font un devoir. • Le taux de guérison véritable de la médecine orthodoxe est de 3% ou moins. • 95% des patients atteints de cancer, qui ont agi ave c des traitements alternatifs contre le cancer, mai s ayant déjà reçu le traitement complet et orthodoxe, ont été renvoyés chez eux pour mourir ; c’est à dire que la médecine alternative a remis sur pieds un grand nombre de patients atteints de cancer, pourtant dans un état critique. • Pour ceux qui attendent d’aller avec d’autres traitem ents contre le cancer, qu’après qu’ils aient été renvoyés chez eux pour mourir, seule une poignée parmi plus des 300 autres traitements contre le cancer, est ass ez forte pour avoir une chance de survie. • Mais même pour ces rares personnes, qui ne trouver ont qu’un de ces puissants traitements (par exemple celles qui ont lu ce livre), au mieux, elles auront des chances de survie d’environ 50%. Xxiv
En d’autres termes, si vous y allez en premier , avec la médecine alternative, vos chances de survie sont de 90% ou plus, si vous faites ce qui est indiqué. Si vous y allez avec la médecine orthodoxe d’abord, puis avec la médecine alternative en second, vous subirez des année s de souffrance, et si vous êtes chanceux, vous aurez alors un ‘50%’ de chance de survie.
 
Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace. Des études cliniques biaisées Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles. Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo. Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée. Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux
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